Le métier de Travel Planner t’inspire, et tu aimerais démarrer votre activité ? Excellente nouvelle, car une aventure incroyable vous attend ! Toutefois, tu ne dois pas oublier que cette activité professionnelle dépend elle aussi d’une réglementation à respecter. Dans le secteur du tourisme comme ailleurs, il est essentiel de garantir la sécurité et le bien-être de tes clients, ainsi que la pérennité de votre entreprise. Pas de panique : avec Happy Trek, tu n’auras aucun mal à vous mettre à jour. Voici tout de suite 3 choses à savoir en tant que Travel Planner pour ne pas commettre d’erreurs de réglementation !
Réglementation Travel Planner : bien créer son entreprise
Avant de te lancer à la recherche de clients pour lesquels concevoir des itinéraires personnalisés, tu dois créer ton entreprise ! Attention, d’un point de vue administratif, il est indispensable de faire les choses dans les règles de l’art.
Parmi les (nombreuses) informations que tu devras renseigner figure le code APE (ou code NAF). Composé de 4 chiffres et d’une lettre, il vise à classifier votre activité. En l’occurrence, celle de Travel Planner ! Sois particulièrement vigilant, car le code APE d’une agence de voyages (7911Z) est fondamentalement différent de celui d’un organisateur de voyages.
Pour l’heure, il n’existe pas de code APE spécifique au métier de Travel Planner, encore trop récent. Toutefois, le code 7990Z est celui qui s’en approche le plus. Il désigne les activités de promotion du tourisme. Bien entendu, pour être au plus près de la réglementation, mieux vaut sélectionner le code qui correspond précisément à ce que tu proposes : du conseil en organisation de voyages !
Être Travel Planner assuré, un élément clé pour respecter la législation
Un point crucial à ne pas négliger lorsqu’on est Travel Planner est la question de l’assurance. Beaucoup d’organisateurs de voyages passent outre cette étape, ce qui présente pas mal de risques. Une assurance est essentielle pour être protégé en cas d’erreurs auprès de clients, de litiges avec des partenaires ou même d’attaques de concurrents.
Et ça tombe bien ! Happy Trek a collaboré, avec Chapka Assurances, à la création d’une assurance spécifique pour les Travel Planners ! Tu connais l’adage “mieux vaut prévenir que guérir” ? Ne mets pas ton entreprise en péril : protège-toi contre les aléas professionnels et opte pour la tranquillité d’esprit !
Tu peux voir cela comme un investissement stratégique visant à garantir la sécurité et le futur développement de ton activité.
Le Code du Tourisme, réglementation “par défaut” du Travel Planner
Pour finir, non, il n’existe pas de statut officiel lorsqu’on choisit d’organiser des voyages de manière indépendante. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’existe aucune règle à respecter ! En ce sens, le Code du Tourisme fait loi, même s’il ne concerne pas directement le métier de Travel Planner.
Alors, au-delà de ton activité propre, attache-toi à respecter les critères généraux de gestion d’entreprise :
– Pense à établir des Conditions Générales de Ventes (CGV) pour éviter tout problème de non-conformité. Fais-les rédiger par un expert juridique, car la copie des CGV d’une autre entreprise est illégale.
– Même si tu optes pour le statut de société à responsabilité limitée, acquitte-toi des charges sociales auprès de l’URSSAF.
N’oublie pas d’inclure les mentions légales sur tes factures (numérotation, TVA le cas échéant, mention “EI”…).
– Et, enfin, maintenir ta comptabilité à jour !
J’espère que tous ces conseils te permettront d’appréhender la réglementation de Travel Planner avec plus de sérénité. Dans le cas contraire, pas de panique : ma formation de Travel Planner durable comporte justement un module dédié à l’aspect juridique du métier ! L’essentiel pour construire une activité bien structurée, qui te permette de t’épanouir et d’obtenir des résultats !