Travel Planner : 3 mythes sur le quotidien des digital nomads

Travailler en voyageant te fait rêver ? Tu aimerais, toi aussi, découvrir le monde tout en exerçant ton activité de Travel Planner ? Dans ce cas, tu dois absolument poursuivre ta lecture. L’article du jour traite de 3 mythes sur le quotidien des digital nomads. Parce que non, malheureusement, tout n’est pas toujours rose quand on travaille à son compte ! La Happy Travel Academy t’aide à déconstruire ces idées reçues pour te lancer l’aventure de l’organisation de voyages en toute connaissance de cause !

Mythe n°1 devenir Travel Planner digital nomad rendrait riche

Autrement dit, c’est un métier qui permet de devenir riche. SPOILER ALERT : c’est faux 🥲 À la Happy Travel Academy, nous avons toujours eu à cœur d’être transparentes. Et cela implique de te donner de vraies informations au sujet de la rémunération d’un organisateur de voyages ! (Tu peux d’ailleurs consulter notre article pour apprendre comment fixer tes tarifs).

Au risque de te décevoir, l’argent ne tombe pas du ciel quand on est Travel Planner freelance. En débutant, tu vas devoir te faire une place sur le marché, te faire connaître et dénicher des clients, puis gérer correctement tes finances. 

Être digital nomad demande énormément d’efforts pour réussir à vivre de son activité d’organisateur de voyages. Il faut de la persévérance et du temps pour s’imposer dans un secteur en plein développement, où la concurrence est rude. Tu ne deviendras pas millionnaire, mais sache qu’il est possible de vivre du métier de Travel Planner 😉

Mythe n°2 : être Travel Planner freelance = vacances perpétuelles

Parmi les 3 mythes sur le quotidien des digital nomads revient celui d’être toujours en vacances. La vérité, c’est qu’être Travel Planner t’offre une plus grande liberté pour travailler d’où tu le souhaites. Cependant, cet avantage s’accompagne de nombreuses responsabilités.  

À commencer par une discipline de fer et une organisation en béton. Changer de pays régulièrement a l’air vraiment cool sur le papier, mais dans les faits, c’est très complexe à gérer. Pour assurer les missions clients, il te faut une connexion internet quoi qu’il arrive. Or, celle-ci n‘est pas toujours fiable dans le train ou les aéroports !

Et on n’évoque là qu’un seul aspect de la réalité d’entrepreneur. Il est important de garder à l’esprit que pour être digital nomad, tu dois faire preuve d’une planification sans faille pour apporter satisfaction à tes clients. 

Mythes n°3 sur le quotidien des digital nomads : aimer les voyages est suffisant

Voici la troisième idée reçue sur l’activité de Travel Planner : si tu aimes voyager, c’est bon, le métier est fait pour toi ! Là encore, le quotidien est à des années lumières de cette croyance. Évidemment que c’est une prédisposition à avoir, mais elle ne fait pas tout, loin de là.

Pour devenir Travel Planner indépendant, tu devras posséder une vaste combinaison de compétences essentielles et complémentaires. À savoir, la communication et la gestion de multiples projets, l’administratif et le marketing. Il te faudra également faire preuve de flexibilité, car certains clients te demanderont des itinéraires plus compliqués que d’autres. Sans parler de la rigueur nécessaire pour respecter leur budget, etc. 

Pour finir, être au courant de la règlementation de Travel Planner est un must pour éviter les mauvaises surprises. Tu le vois bien, il faut un peu plus qu’aimer parcourir le monde pour réussir dans ce secteur d’activité !

Heureusement pour toi, la formation Travel Planner de la Happy Travel Academy est là pour t’apporter les connaissances indispensables à ta réussite. Ces 3 mythes sur le quotidien des digital nomads en sont la preuve. Il est primordial de bien te renseigner avant de te reconvertir ou de te lancer dans un projet professionnel !